Vieillesse – Fabrice Ruffin

Ce pauvre chéri, gris maintenant, et qui versait une larme à la

dégustation de cette liqueur de cerise trop forte pour lui le

jour de ses cent ans. Il fût jeune. C’ était  un peu comme

ce cerisier flamboyant que l’ on venait d’ élaguer fort

maladroitement: il maintenant ? Fût !

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