« Les poètes francophones », titre d’un recueil collectif qui vise d’après ses lecteurs d’exploser la barbarie et le bordel au Maroc. Pourquoi et comment ? On ne sait pas ! Et alors !
-Ce recueil vise à donner un discours démonstratif du mal à l’Afrique, après sa précédente couverture, de défendre avec une élocution la culture africaine et la littérature française francophone. Après sa nouvelle couverture, tout s’arrête là ! Semmid a su sa faute après une réfutation forte de la part de lecteurs et les citoyens marocains.
Azzedine Abaoui, écrivain marocain, nouvelliste et participant a son avis :
-Semmid a fait une faute très grave de cautionner la partition du Maroc, de ce trait séparant le Maroc de son territoire qui est minable et insignifiant. Tout simplement, il a été critiqué d’une façon un peu dure mais c’était déjà une bonne expérience !
« Mon pays s’étend de De Tanger à Lèguera » a dit Semmid :
-Tout d’abord, c’était une faute d’une manque d’attention, une faute très grave non pas dérisoire comme j’ai pensé, « mon Maroc que j’aime », cette phrase qu’il me sent fier et enthousiasmé. Le contenu de ce livre est très drôle et chic, une poésie libre et un peu lyrique de la part d’autres et épique, cette fierté de notre continent africain et ce carrefour de culture entre ces pays de ce fabuleux continent.
Et voilà « les poètes francophones » a débarrassé ce pire moment et ces critiques partout au Maroc. Attendez-le à la Fnac de Casablanca ! Et n’oubliez pas ! « Ce n’est pas à cause de moi, c’est à cause de ma faute ! »