Sonnet
L’azur nacré du ciel, aux rayons enflammés,
Caressait la vallée, et la rendait plus belle.
En ce nouveau matin, au silence embaumé,
S’éveillait lentement, aux chants des hirondelles.
Dans la blonde lumière, et les parfums sucrés,
La nature sauvage, aux chansons éternelles
Des torrents et ruisseaux, aux courants enjoués,
Epanchait tout son charme, aux beautés immortelles.
Des paysages doux, des vallons ondoyants,
Aux collines boisées, et coteaux ondulants,
Scintillaient au soleil, des matins de rosées.
Un village perché, sur l’éperon rocheux,
Un clocher médiéval, tout de pierres taillées.
Magnifiaient ce coin, fait pour les amoureux.
***
©Gérard Bollon-Maso
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Belle description de ce village perché et de sa douce vallée nacrée.
Merci pour vos partages poétiques !
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