The spleen.
Entends-tu les frémissements des vagues bleues,
Venant de mon horizon solitaire et creux.
Ô! Diadème, délice de l’œil miséreux,
L’ Abacus bien sûr pour un chemin caverneux.
Éther compagnon de ce vieil ermitage,spleen
Pieds nus, en haillons s’appuyant sur son âge.
Entre ses doigts un chapelet qu’il égrène,
Au son des orémus, que sa voix imprègne.
Oasis, est le cœur que la foi anime,
Retrouver sa muse au-delà des rimes,
Assécher les larmes, l’encre de sa plume.
Adoucir ses prunelles au blanc d’écume,
Caresser ses appâts au goût des agrumes,
Étancher ma soif, inonder mon spleen.
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C est très très beau
Julie