Conviction-Brahim Boumedien

Je persiste à croire Que ce que nous vivons N’est pas dû au hasard Mais à la trahison   Des villes et des régions Des continents entiers Subissent une explosion De grande intensité   Un virus essaimé Par des laboratoires A déjà décimé De nombreux territoires   Surpris, tétanisés Et pris au dépourvu Nous restons … Lire plus

Les lutteurs – Simone Gibert

peinture S.Gibert L’histoire que je vais conter N’est pas une fable, mais vraie. D’une façon très éhontée, Un homme mesquin se livrait A un “sorcier” typique, Se plaignant de son mauvais sort … “Ce tableau est maléfique, On t’a marabouté ! Tu dors Avec, une nuit de plus, Je ne pourrai rien faire, C’est pire … Lire plus

Dans tes yeux – Luc Isa

Dans tes yeux Dans tes yeux J’ai lu l’aveu de ton âme Telle une flamme Provoquant mon sérieux.   Dans tes yeux J’ai découvert l’envie D’un instant éphémère de vie Mêlant passions et jeux. Tes yeux Se sont remplis d’amour Nous découvrant sous un nouveau jour Enlacés et heureux. Tes yeux Se sont remplis d’ivresse … Lire plus

Février, tu es de retour…-Brahim Boumedien

Les Romains ne t’aimaient pas et tu es de retour Je ne veux pas croire ce qu’ils pensaient de toi Très nombreux parmi eux, te voyaient en vautour Moi, j’ai un autre avis ; je le dis, je le crois Beaucoup de gens très chers sont nés en février De beaux souvenirs certes, mais de moins … Lire plus

Trouble bipolaire- romain en serie 14- Contu Aurel

a paisprezecea zi – fuga   Rezumat Virgil Morel, personajul principal, se internează într-o clinică psihiatrică la indicațiile medicului său curant, Julien, prieten cu doamna Adelaide, directoarea clinicii, cu care acesta are o relație de dragoste tensionată. Dorind să scape de ea, el o omoară, punând totul în spatele lui Virgil. Urmează o investigație psihologică … Lire plus

Trouble bipolaire- romain en serie 2 -Contu Aurel

Ziua a doua – Camera 19   Rezumat Virgil Morel, personajul principal, se internează într-o clinică psihiatrică la indicațiile medicului său curant, Julien, prieten cu doamna Adélaïde,directoarea clinicii, cu care acesta are o relație de dragoste tensionată. Dorind să scape de ea, el o omoară, punând totul în spatele lui Virgil. Urmează o investigație psihologică … Lire plus

Notre-Dame – Stéphanie Bisson

  Je n’ai pas cru les infos Tellement ça semblait gros Lorsque j’ai allumé la télé Mon cœur s’est crispé Je t’ai vue dévorée Par le feu, par les flammes Le temps s’est arrêté Une douleur dans mon âme Sur mes joues, des larmes ont perlé En pensant à toi et aux pompiers Qui toute … Lire plus

Sans avoir l’air de chercher la petite bête… – Christian Satgé

Petite fable affable Un grand poète maria
À la gloire la plus mystiqueL’ Alexandre qui paria,
Matin, face à quelques sceptiques,
Pouvoir dominer, flegmatique,
Le monde connu, le distendre,…
Il proclama donc, frénétique :
« Non, nul n’est plus grand qu’Alexandre ! » Roi d’un peuple de parias,
Aux us et aux mœurs ascétiques,Il réussit – Victoria ! – À annexer à … Lire plus

Un soir d’Aout – Laurent Vasicek

Ces sentiments sincères qu’il faut expier Comme les mystères de la vie, les mystères de Paris, un jour d’Aout Et puis, pas le moindre doute sur la trame expiatoire Les prières ne seront d’aucun secours Dieu, laissons le à sa place, au ciel il est bien   Vertige de l’instant, j’ai aimé et j’aime toujours … Lire plus

les esprits de la mer – Eric de La Brume

C’était un jour d’été. sur une plage, au sable fin, les vagues déferlaient. Quand soudain, du fond des eaux, émergèrent deux têtes, en filigrane, semblant brûler d’amour, l’une pour l’autre. C’étaient des esprits de la mer. Deux êtres, épris l’un de l’autre, partis un jour en croisière, pour ne plus jamais revenir. Suite à un … Lire plus

Cent mots pour narrer – Hubert-Tadéo Félizé

Assis sur cette plage, je regarde le flux, le reflux de la marrée. Au coucher du soleil, l’horizon s’illumine des vermillon et autres camaïeux chaleureux de la journée. Un peu plus tôt, je me rappelle des jeunes mariés devant l’autel, moi j’étais resté à l’hôtel de la plage, déçu de solitude. Mon histoire arrive à … Lire plus

Le manoir de Solferino – Hubert-Tadéo Félizé

Prologue Le Manoir de Solferino Les derniers survivants Préface de mise en garde : Seriez-vous prêt à vendre votre âme à Lucifer et sa myriade d’enfants mal-nés, dans une lecture nauséabonde de putréfaction en découvrant ce récit vomitif ? Seriez-vous prêt à avancer quoi qu’il vous en coûte dans les labyrinthes de pensées alambiquées et malsaines ? Quitte … Lire plus

L’ inoubliable envoûteuse – Brahim Boumedien

Sous l’œil du grand Zaccar Se dresse Miliana Une beauté rare Splendide nirvana   Caressé par sa brise Respirant son air pur Goûtant ses cerises Vous reviendrez, c’est sûr   Ville de culture Avec sa longue histoire Miliana la pure A connu des victoires   L’illustre Abdelkader En fit sa capitale Les milianais gardèrent Ses … Lire plus

Dans le brasier de bronze et d’acier – Christian Satgé

  Cycle HistoriqueÀ G. Apollinaire (1880-1918)   Dehors, les barbelés, la terre qui gît, grise…Les chevaux de frise s’enchevêtrent à la brise…Me voilà retranché dans un abri de craie,Ombre violette dans l’ombre violenteQue force comètes versicolores créent…Mon rat sur le recul flaire l’eau pestilente,Froissant le silence, dans la cagnat obscure.Oh ! les gaz asphyxiants, ce … Lire plus

J’ai perdu le “LA” -Josiane Havez-

  J’ai perdu le “LA” Tu n’es plus au diapason. En clé de “SOL>”, Les notes… Blanches, sans croches ni doubles croches Se joignent aux soupirs, Oubliant notre farandole. Privée de la musique qui nous a rendus proches, Mon âme est envahie de langueur Par cette muette composition. En l’absence de mesure, ton “au-revoir” Rythme … Lire plus

Homme, où te diriges-tu ? – Jehan Videcrir

  Homme, où te diriges-tu ?   En ce cinq décembre de l’année deux mille treize S’est éteint une flamme, une icône décédée, Qui éclaira le monde et supporta les braises Qu’elle traversait chaque jour, sous les yeux des geôliers.   Il vainquit l’apartheid, il prêcha l’unité, Il a rendu aux noirs leur statut d’être humain. … Lire plus

Bataille Antique – Paul Grison

J’avais vu depuis le sommet de cette grande colline, Toute mon innocence prendre congés et partir en exil. Ce jour là s’amoncelait dans la plaine nauséabonde, Toute la barbarie humaine réunies – horrible et immonde. Le hennissement des chevaux était effrayant, Les corps gisants, empalés sur les immenses défenses Des féroces éléphants de guerres d’antan. … Lire plus