Mémoires, pages 50 à 52 / 311 – Dominique Capo

Durant ces années là, mes grands-parents n’ont passé que quelques semaines par an au sein de notre demeure familiale. Le reste du temps, ils ont logé en proche banlieue parisienne, dans une maison qu’ils ont fait construire à leur retour d’Afrique. Le siège de leur entreprise – où ils étaient la plus grande partie de … Lire plus

Mémoires, pages 48 à 50 / 311, par Dominique Capo

Souvent, à la saison froide, mon arrière grand-père nous préparait des gaufres pour quatre heures. Je le revois encore, penché au-dessus de sa cuisinière à gaz le couvercle refermé. S’activant autour de son gaufrier antique, moi et ma sœur – mon cadet ne les a pratiquement pas connu – assis à la table de la … Lire plus

Mémoires, pages 44 à 46 / 311, par Dominique Capo

Jusqu’à présent, j’ai relaté quelques uns des épisodes les plus marquants m’ayant amené à connaître l’univers des livres dont vous êtes le héros. Dans un autre registre, attardons nous sur un lieu qui m’est particulièrement cher. Certes, les livres dont vous êtes le héros ont eu un rôle déterminant sur ma Destinée. Mais d’autres faits, … Lire plus

Mémoires, pages 42 à 44 / 311, par Dominique Capo

C’est d’ailleurs pour cette raison que le jour où je lui ai menti pour qu’elle me donne un billet de cent francs – une somme non négligeable en 1986 ou 1987 -, je n’étais pas fier. C’était quelques semaines après la rentrée scolaire. Il pleuvait averse. Et comme d’habitude, le jour précédent, je m’étais rendu … Lire plus

Mea Culpa – Dominique Capo

J’avoue que ces derniers temps ont été assez éprouvants pour moi. En effet, parfois, la solitude me pèse. Le fait d’être si isolé un un fardeau lourd à porter. De plus, m’occuper quotidiennement de cette personne de ma famille ayant la sclérose en plaques, ne facilite pas ma situation. Attention cependant, je ne lui fais … Lire plus

Mémoires, pages 37 à 38 / 311, par Dominique Capo

Progressivement donc, j’ai débuté leur collection. Ça a été ma première, pas ma dernière bien que je ne le sache pas encore. . Non, à ce moment là, le plus important pour moi était de m’en procurer le maximum. Et au fil des mois et des deux ou trois années ultérieures donc – entre 1985 … Lire plus

Mémoires, pages 35 à 37 / 311, par Dominique Capo

Il existe, au cours de sa vie, de rares périodes de pure félicité que rien ni quiconque ne vient entacher. Bien que les années 2002 – 2004 aient été parsemées de drames et de profonds déchirements dans ma famille – une fois encore, rien que pour les relater, il me faudrait y consacrer un long … Lire plus

Mémoires, pages 32 à 34 / 311, par Dominique Capo

Ma seule alternative a donc été de concentrer mon attention sur la devanture présentant les innombrables livres disponibles. Il y en avait de toutes sortes, comme c’est encore le cas dans n’importe quel supermarché digne de ce nom. Là, il s’agissait de Bandes dessinées. Mais, une fois encore, il n’était pas de ma prérogative d’en … Lire plus

Mémoires, pages 31 à 32 / 311, par Dominique Capo

L’enfant que j’étais a été terriblement frustré. Il était exceptionnel que je ne revienne sans rien chez nous. Cela peux ressembler à un caprice de gamin. C’en était effectivement un ; je ne le nie pas. Mais en rédigeant cette Chronique, mon intention est de montrer la réalité telle que je la vivais tout le long … Lire plus

Mémoires, pages 28 à 29 / 311, par Dominique Capo

Quoiqu’il en soit, il ne nous a jamais accompagné jamais aux courses. Il ne nous a jamais escorté dans n’importe quelle sortie familiale du reste. Il a été très rare que mon père vienne avec nous au cinéma ou pour se promener en ville. Étant un gros fumeur, il ne supportait pas les lieux où … Lire plus

Mémoires, pages 26 à 28 / 311, par Dominique Capo

Puis, je me suis résigné à reprendre le cours de mes lectures habituelles. Un pincement au cœur, je me suis replongé dans les textes de la Bibliothèque Rose, de la Bibliothèque Verte, etc. Pourtant, désormais, je leur trouvais moins de saveur. Je les sondais avec moins de ferveur et de passion. Quelque part dans mon … Lire plus

Mémoires, pages 23 à 25 / 311, par Dominique Capo

Le soir même, après avoir dîné, je me suis mis au lit vers 20h30, comme il était de coutume. Mes parents – ma mère surtout – estimaient que c’était l’heure la plus adéquate pour aller se coucher à un préadolescent de douze à treize ans. Je ne dis pas que je n’aurai pas préféré rester … Lire plus

IL NE LEUR MANQUE QUE LA PAROLE. 2ème partie – Chapitre 8 (à suivre) – Véronique Monsigny

CHAPITRE 8 –  Tu dis que tu aimes … mais …   –        Et bien Fend-la bise, tu me parais bien abattue ce matin… –        Maouh ! Oh mais regarde autour de nous… ils ont ressorti les valises, les cartons et tout le bazard ! ça sent le déménagement à plein naseau ! –        A oui ? mais qu’est-ce … Lire plus

IL NE LEUR MANQUE QUE LA PAROLE. 2ème partie – Chapitre 7 (à suivre) – Véronique Monsigny

CHAPITRE 7 : La mer à boire   –        Cuicui ! Fend-la -bise ! viens voir dehors ! je te présente un copain. –        Oh ! Pinson, je t’ai déjà miauler de ne pas me réveiller au milieu de ma sieste –        Coui ! mais entre ta sieste du matin et celle de l’après-midi il faut bien que tu te … Lire plus

Mémoires, pages 18 à 20 / 311, par Dominique Capo

Je n’ai pas vu les choses sous cet angle, bien entendu. Ce qui était le plus important pour moi à ce moment là, c’est qu’ils puissent m’offrir le jeu dont j’avais envie. Je n’ai pas imaginé les implications familiales et les conflits latents que cette générosité plus ou moins calculée a engendré. J’étais loin de … Lire plus

Mémoires, pages 15 à 17 / 311, par Dominique Capo

D’un autre coté, si un amoncellement de Playmobils étaient installés au fond de notre jardin, le sol de ma chambre, lui, était envahi de Lego. En effet, bien que je n’écrive ou ne dessine pas encore, je possédais déjà une imagination très fertile. Durant les vacances ou les week-ends, puisque je n’étais que très rarement … Lire plus

Mémoires, pages 11 à 13 / 312 par Dominique Capo

Pour en terminer avec la personnalité et le comportement de mon père au tournant des années quatre-vingt, celui-ci était une personne très intelligente. D’une grande culture, c’était un manipulateur né. Il possédait un grand charisme. Il était amical, ouvert, chaleureux. Il était capable de se faire partout énormément de contacts ; bien qu’il préférât entretenir … Lire plus

IL NE LEUR MANQUE QUE LA PAROLE. 2ème partie – Chapitre 4 (à suivre) – Véronique Monsigny

CHAPITRE 4 – L’habit ne fait pas l’abeille   –        Meh ! dis donc toi, la mouche à miel … –        Zzz ! Non, je ne suis pas une « mouche à miel » ! Je suis une mouche” libre”. Je ne suis pas condamnée aux travaux forcés, moi ! Je vais, je viens où je veux, je n’ai pas de … Lire plus