J’accepte de lire tous les tons – Abdullah Karabag

Il fait beau, j’ouvre tous les pores aux soucis Il fait clair, j’ouvre tous les yeux des sosies Qu’ils se répandent sous les cils aux charmes J’accepte de lire tous les tons de mésestimes.   Il fait noir, j’ouvre tous les rayons de jaunes Il fait du mal, j’ouvre tous les nerfs optiques Qu’ils se … Lire plus

Se pencher au coeur d’une moule – Abdullah Karabag

  Quand mon affaire de coeur dépérit, je vais à la mer… Ce chemin qui va à un jardin, où subir l’injure des ans.   À chaque pas, que j’y meure dans la fleur de ses ans où Je trouve un coquillage, à chaque fois que j’eusse pensé.   À présent que, m’avoir tombé comme … Lire plus

En pleine tempête par une mémoire – Abdullah Karabag

I. Les tracées mémorisées des heures éperdues à la ville Les cloches de tous les temps sonnent sans désemparer. Les mots qui se prononcent difficilement dans la bouche Du sang et du vin à rompre, au coucher en air harmonisé. En pleine tempête qui n’est que de façon à me mémorer. II. Les débris complimentés … Lire plus

Les sessions d’une existence – Abdullah Karabag

Je suis entré au jardin de mon printemps, Quelle heure d’arrivée, avec un âge puéril Sourire et pleurer, aux gestes symboliques À quelle belle vie, ou ce n’est pas une vie! Je suis tombé dans la moisson de mon été Quel temps d’atteignant, avec sa patience Jaune et blanc, aux tourments spécifiques A quelle estimation, … Lire plus