Supplice avant de mourir – gilles baychelier

Sentant arriver mon dernier soupir
mes derniers soubresauts …même les pires
avant de tourner de l œil ….vraiment tourner de l œil
non de non je veux pas partir….
sans faire un dernier salut a mon pays
un dernier regard a ces montagnes
castel d os malareide et madrés
je me fou des derniers sacrements
le bon dieu et toutes sa clique
pour moi le cure peu partir en vacance
je veux pas partir de suite
pas avant d avoir vu mes enfants
la certitudes qu ils vivront bien leur vie
en tous cas mieux que la mienne…
a tous ceux qui ont détractes
sur ma vie privée et pas privée
soyez tranquille s il existe
j emporterais tout au paradis
et toi mon ancienne compagne
qui a si consciencieusement détruit ma vie
en me privant de mes enfants
je n irais pas en enfer même si s est ton plus cher souhait
je t attendrais la haut au paradis..s il existe
après ça je pourrais partir
sur cette plage derrière l église
a cote de mon père qui repose sous un rosier
tourné vers les montagnes que j ai tant aimé

BG2020

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4 Commentaires
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Invité
9 septembre 2020 7 h 04 min

Un poème triste mais qui fait réfléchir sur les choses qu’on laissera derrière, de la mort et l’on peut se dire que cela est tirée de fait réel… Merci du partage de tes souhaits.

Colette Guinard
Membre
8 septembre 2020 12 h 07 min

Je souhaite que la paix vous soit accordée