Cette plaquette de vers libres et de proses poétiques regroupe, en trois parties : « Les rues mortes », « Les amours mortes », « La mort des empires », des messages nostalgiques d’une vie qui décline et des points de vue extrêmes sur une civilisation qui s’achève. Mais, sous le miroir des mots, derrière les gravures de la nuit, les tableaux colorés de l’errance dans les rues réservées, les visions de naufrage, on devine une sorte de révolte, d’appel à des dieux inconnus.
Jacques Prévert, qui savait ce dont il parlait, n’a-t-il pas écrit au début de Fatras : « C’est dans les bas-fonds qu’on pousse les hauts cris » ?

Exemplaire de présentation
Partager la publication "Plaquette en vers libres et en prose – André Nolat"
J'ai publié, chez de petits éditeurs sérieux et en autoédition avec souscription, sous le pseudonyme d'André Nolat (que je tiens à conserver), des plaquettes, des nouvelles, des chroniques, des essais. Je ne m'en prévaux guère.
Par ailleurs, je vis seul depuis le décès de ma compagne, et j'aime lire, écrire, voir des films, des débats télévisés, etc.
Quant à ma vie passée, plus agitée, elle a fait l'objet de divers récits liés à des lieux où j'ai vécu - presque tous détruits ou métamorphosés... C'est pourquoi à partir d'un certain moment de son parcours, je crois qu'on peut dire, citant Céline, " qu'on est plus qu'un vieux réverbère à souvenirs au coin d'une rue où il ne passe déjà presque plus personne."
Lire la suite du même auteur :
Nombre de Vues : 0