Ôtons nos Masques
pour briser la glace
de l’anathème
qui nous tient loin
du ” Verbe Aimer “.
*
Malgré notre Tragédie Humaine
aimons-nous les Uns les Autres,
Sans Fautes,
afin de mettre un terme
à notre manque d’humanité.
*
Faisons de la Divine Lumière
une Terre nouvelle
d’amour et de prières :
Celles que rien, pas même
” le Maître de l’Enfer “,
ne pourra ni corrompre ni défaire.
*
Dès lors ayons confiance
au Divin Consolateur
qui nous a promis,
à la Fin des Temps,
un “Ailleurs Meilleur”
aux sublimes couleurs
de l’Eternel Bonheur.
*
En hommage à Madame ANKU membre poète
qui nous a quittés … Ma sincère sympathie
et mes sincères condoléances à sa famille et ses proches…
*
Dominé Jean-Claude. Le 29/05/2025
Je me présente Jean-Claude Dominé d'un père Français et d'une mère vietnamienne...Je suis retraité maquétiste monteur d'un journal documentaire pédagogique dans le Midi de la France...Nous sommes ma moitié et moi, mariés depuis 44 ans sans enfant mais nous avons une nièce de 22 ans qui s'appelle Bianca qui nous aime comme ses propres parents ...Je me suis découvert poète depuis bientôt 20 ans aprés avoir vécu une révélation divine (christique) qui explique ma passion pour le Seigneur Jésus ...Je suis aussi chanteur musicien guitariste compositeur en musique classique mais plus encore en Folksong, country américain...J'ai de même fait quelques concerts de guitare et chansons en dilétante pour des lieux de pèlerinage chrétien et pour des hopitaux publique, interprétant des chanteurs tel que : Léonard Cohen, Simon and Garfunkel, Bob dylan, Hugues Aufray, Joan Baez, Maxime Leforestier, francis Cabrel, Nicolas Peyrac etc des années 1980 à 90 ... Je remercie "Plume de Poète" qui est un site poétique pour lequel j'éprouve une grande en sympathie...Au plaisir de partager mes textes et mes poèmes avec grand nombre surtout envers un public de même confession Chrétienne catholique.
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De quelle Madame Anku parles tu ?
Merci pour ce partage où la sagesse règne en maîtresse ! Dans l’un de mes poèmes, intitulé ; “lorsque le verbe aimer se conjugue dans la rue”, j’en parle