Une ombre dans la forêt, une marche mécanique.
Lassitude de l’être qui cherche la lumière entre
Les cimes des hauts perchoirs aux feuilles décimées.
L’ombre saisie le vent avec ses membres supérieurs, tel un lasso sans pitié pour ses prisonniers.
Ombre envolée, circulant selon les désirs du vent.
Ombre qui mue, forme présente au teint revigoré pour le voyage aux orientations indécises à la destinée sans fin à la vitesse inconstante.
Liberté de communiquer avec les arbres qui saluent le vent en chantonnant à la cabrure gracieuse.
La danse est à son apogée.
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