Flâner du côté de l ’ avenue des veuves
Et échanger un imperceptible regard
Un fiacre prit une rue transversale
Il évita un creux d ’ écart des pavés.
Un homme vêtu de longue redingote
Passa avec grande rapidité le chemin
Belle ruse empêcha toute les émotions
Mystérieux ronflement se fit entendre.
Violence du vent chassa les nuages
Un tortillard les emmena goulûment
Vint le cabaret du Cœur – Saignant
Les pluies dépassent arches du pont.
Un cri guttural sortit de la masure
S ’ ajouta à l ’ expression de finesse
Les regards pénétrants des arcanes
Sont attirés par des lourdes laideurs.
Murmures du vent agitées dépouillent
Les ruelles aux échanges d ’ obscurité
Occasion de posséder tous les secrets
D ’ une trempe énergique et vigoureuse.
Au charme terrible de vastes inquiétudes
Orgueilleuse satisfaction vint se produire
Les précautions d ’ attaque furent prises
Aux aitres souterrains de vifs hurlements.
Aux étourdissements des mouvements
Le morne silence de l ’ environnement
Ébranlement de la porte d ’ espérance
Des projets d ’ audace au motif aigu
Une ardeur de sérénité vint fourmiller.
La frénésie des puissances de lucidité
Emporta des tourbillons de brut vertige
Les lueurs de la raison tendit bel esprit.
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