L’ouragan de ma quête effrénée,
Loin des chaînes de l’ennui figé,
Héritière des tempêtes du Massachusetts,
Libérée d’une nouvelle vie que je projette,
Dans un vide rincé des violences,
Je taille ma route à la brillance.
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Couleurs de peaux, nuances historique,
Récits millénaires, et l’âme du doute épique,
Est un ciel immense, un firmament,
La ”Race inférieure” a des tourments,
Des millénaires que cognent les endurcis,
La danse des humanisés, tourbillon pourri.
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Flânant dans les rues de nos cités,
Vision pointue féminine, et mystère voilé,
Dans la rue c’est un ballet infini,
Qui tisse un fil entre les salauds et la vie.
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Et ma faim de vie, ma soif des Dieux,
Célébrant les mots, d’un feu précieux
Chaque mot, une flamme ardente,
Une rime vibrante, pure et chantante,
Hymne d’un vers en attente, une soif évidente,
Au délire divin aux nymphes à l’entour,
Un redoutable amour,
Un chanson enivrante,
On célèbre les battements du destin précieux.
Père et mère, vont bénir ton chemin fructueux
Ça balance pas mal et les mots ont été fameux
S ’ offrir.
Houle des escales
Illumine authenticité
Tournage de rythme
Traverse une vision.
Offrande des esprits
L ’ anse de lumière
Des mots intérieurs
Confectionnent entité.