Longues nuits
J’attends longues
Nuits avancées
L’envolée des agneaux
Et la grève sous les flots
Au ressac trop amer
Des marées écourtées
Egarés sous la pluie
De ces ombres de pleurs
La nuit qui s’étire
La peur qui s’enfuit
Cet éveil en exil
Pour une promise inconnue
Envouté sur ces lignes
L’ennui de lire ta main
Sous cette ombre filante
Sur mes lèvres aimantes
Sous la soie de mes rêves
– Vois je vogue vers l’horizon-
Le temps s’étoile de lune
Pour les mots de la nuit
Pour les nuits sur ces mots
L’aurore se déforme intime
Qui déjà se dessine en ma vie
Quand enfin apaisé je m’endors
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bEAU ET PROFOND TEXTE DOYEN
Beau et touchant poème mon ami, on est balancé entre la lumière et l’obscurité, entre la joie et la tristesse on fait avec.