Lorsque l’été leur étale
Ses terrasses monumentales
Se dressant au bord de l’eau
Ils goûtent à ces îlots
*
Synonymes de repos
Et qui servent de dépôts
A maintes tracasseries
Les hommes pleins d’euphorie
*
Se voyant bercer par les vagues
Admirablement divaguent
Maintes idées chimériques
Aux apparences féeriques
*
Enthousiasment les esprits
De l’été ils sont épris
Se promenant au travers
Des bois d’été peints en vert
*
Les gens se sentent des ailes
Pour aller faire du zèle
Et marcher jusqu’à point d’heure
Le long des champs de verdeur
*
Où les vertes plantations
Les mets en ébullition
L’été de sa plus belle eau
Y coule l’extase à flot
*
Sous le soleil vermillon
Les déclinantes rayons
Bourgeonne la nuit d’été
Elle étendra sa clarté
*
Sur l’atmosphère endormie
Ornée d’étoiles amies
Tant ont hâte d’admirer
La nuit qui fait chavirer
*
Les esprits émerveillés
Par la paix faisant briller
Les astres du firmament
Éloignés d’humains tourments
*
David Frenkel