Je sais un sentier lequel s’était posé de pavés en pierre
Il s’éloigne de la campagne à un carrefour de banlieue
Où mon enfance innocente a tombé dans sa poussière,
C’est un corps qui n’est devenu que plus pareil au lieu.
Je sais une voie romaine dans laquelle unit tout passé
Elle se réfléchit aux feux tricolors de cette exposition
Dont la tourbillon illuminée, qui subit un grand cassé,
C’est un événement qui n’ouvre pas à aucune décision.
Les jours toujours même sur les pavés pour les pieds
Les traces de regards des piétons, qui sont d’habitude
Par laquelle que, je me prolonge en temps aux pieds,
Ce sont de l’évocation, de l’énonciation, à mon étude.
On dit que tous les passages sont de roche et de béton
En tant qu’il n’y a pas de caillaux dans les chaussures
Dont les semelles n’aiment que les places aux piétons,
Ce sont de côtés latéraux de rues, qu’ils nous assurent.
Le fardeau des ans toujours même sous le firmament,
Le temps de pavés se laisse emporter par les trottoirs
Donc, le mot de passe de l’installation au revêtement,
Cette clé littérale qui est enregistrée à mon répertoire.
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©Abdullah Karabağ – 02/07/2018
Merci beau poème
mes amitiés
Fattoum.