Sur la branche fragile il se pose en douceur
Tout en lançant bien haut ses cris de rabatteur
Pour dire à l’assemblée que la place est très sure
Et qu’on peut commencer tous les chants en mesure .
Les mélodies se croisent et le soleil couchant
N’ose plus envoyer ses rayons scintillants
Seules des partitions animent sans faiblesse
La forêt mystérieuse toute emplie de richesses .
La musique est la reine , les choeurs sont déchainés .
Tous les thèmes s’enchainent , des duos sont créés .
Les artistes s’activent sur une scène immense .
C’est vraiment le concert des roitelets en transe .
Puis soudain tout s’apaise dans la faible lueur ,
Qui passe entre les feuilles où le hibou demeure .
Les gazouillis s’éteignent , la pièce est à son terme .
La nuit s’est invitée et le rideau se ferme
Quel beau texte riche, musical, mélodieux.
Je l’ai lu à voix haute, et avais l’impression de ‘dire’ une chanson.
Un vrai concert de sons qui berce.
“Puis soudain…
La nuit s’est invitée et le rideable se ferme” 🪶
Notes graves.
Changement graduel ou brutal, le jour la nuit, l’on chante l’on pleure, début et fin, la vie la mort.
Le rideau se déchire.
L’espoir revient.
Meurt-on et renaît-on.
🪶
Merci pour ce beau spectacle que vous offrez sur cette page.
Une bien belle nature