Le rêve a plusieurs prix…..
Dont certains vous habitent…..
Et d’autres résident là_bas….
De l’autre côté…..
Vous marchez régulièrement…..
Et sortez de vos inspirations un poème…..
Et en lisant……les lettres tombent de vous…..
Quand la lionne était enchaînée……
Avec des chaînes d’esclavage…..
Des fausses chaînes……
Se tiennent tous les jours…..
Devant le bourreau……
Versé les larmes…..la tête foulée…..
Et que le bourreau ….n’entend pas ces gémissements…..
Il lui crache au visage…..
Pour la provoquer et laisser tout et abandonner…..
Pour satisfaire son instinct sanglant……
Quand elle incube ses roses…..
Les gémissements sont ettoufés…..
Combattante sans armes …..
Au milieu de terrain…..
Quand la nuit passe……
Entre les tentacules et la terreur…..
la peur…..aussi…..
Dort un museau sauvage……
Embrasse ses petits…..
Dans une forêt isolée….
Et ne réjouit pas…..
À l’aube d’un nouveau jour…..
Elle ne connait pas le jour…..
Elle ne connaît pas, la chaleur du soleil…..
Ne rêve plus…. N’imagine plus…..
ne ressemble pas aux autres femmes….
La féminité est une faiblesse et un fardeau pour elle…..
Face au parano bourreau….
Son corps est un prison ….qui capture et serre son âme…….
Chaque jour ouvre ses yeux…..
En réfléchissant ”comment libérer son âme”’
Et l’obstacle sont ses petits innocents….
Car elle est la joie et la protection…….
Contre les souffles de cette bête maladive …..
Que ses souffles bouchent les ouïes des petits….
Et poisonnant l’atmosphère de leur abris….
Ce bourreau envoie ces flèches …..
Et la pauvre les reçoit …..par patience….
Et des yeux flétris….
Un visage pâle et les traits faciaux mécontents…..
Sa nuit….est une nuit captive….
Une décision d’un vieux jour……
Où elle pensait que c’était le jour de fête…..
Et elle a planifié….et elle a rêvé…..
Mais elle n’a pas réalisé…..
Elle était seulement Leila du conte …..
Et lui le loup malin…rusé……
Qui attend que l’horloge bondisse….
Pour sauter et tuer…..
Et l’amour c’est juste des illusions….
Et les promesses sont le grand mensonge….
Le loup devient …
Le cauchemar des années, qui lui lie les poignets …
Et prenez la coupe empoisonnée …
Pour libérer l’âme tourmentée …
Après que le fouet du bourreau ait creusé son corps sensible …
Se retrouver seule dans les patries de la trahison …
Un pays où la femme du juge transporte …
Sur son dos un bourriquet……
Un pays de silence absolu et de doléances …
Pour libérer l’âme à son Créateur …
Elle laisse le corps blessé à son bourreau ..
.Le 08/12020
Par Plume de Marin(Khadija Elbahar)
Les droits sont réservés.
L’histoire de la violence qui n’a pas encore de fin, et les pauvres martyres en deuil ,quand il n’y a pas de solution.
Merci Khadija pour ce partage intéressant et utile, provenant d’une lionne : rien ne m’étonne !
Profondeur, pertinence et originalité sont la force de ce beau poème très personnel.
Mes félicitations mon amie Khadija !