L e Baiser que l’on dépose du bout des lèvres telle une confidence,
E mpreinte qui peut, il est vrai sceller toute une existence,
B aiser de tous les baisers, couleur passion qui porte et donne la cadence,
A nnihilant tout sur son passage d’un rouge évocateur jusqu’à se faire violence,
I l nous prend sous son aile avec Cupidon pour protecteur, avocat de notre défense, avec prudence,
S ous son emprise, on prend son envol tel un oiseau migrateur, tout paraît évidence,
E tendard, armoirerie des premiers amoureux, tout semble très flatteur, se laissant emporter par la providence,
R écompense, remerciement, enfin l’ultime celui qui tourne la dernière séquence…
©Lise Beverly
Le baiser, on ne saurait s’en passer! Voilà un joli tour d’horizon qui m’a plu. Merci Lise!
Ah le beau baiser. Tout en acrostiche il dépeint bien les sensations