Malgré son beau costume
Et son prix abordable
Le mouton qui transhume
Reste dérangeable
Des enfants qui meurent
À Ghaza envahie
Des mères qui pleurent
Car elles sont trahies
Un monde malade
En période de fête
Grosse débandade
Et un cumul de dettes
Mon Dieu, préservez-nous
De ces maux effrayants
Devenant contagieux
Partout et maintenant
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Eid Mubarak !🌺
Ce poème saisissant juxtapose deux réalités : la façade paisible des fêtes et l’horreur du monde contemporain. Le contraste entre le mouton bien vêtu mais dérangeable et les pleurs des mères trahies à Gaza souligne la violence de l’hypocrisie sociale, où le consumérisme occulte la souffrance humaine.
La dernière strophe, prière lucide et désespérée…
Merci !