Chercher en soi ce feu sacré,
L’éclat qui ne pourrait se briser,
Sous la lune qui veille,
Je suis l’ombre sans sommeil,
Jusqu’à l’aube qui s’éveille,
Sous l’étoile au fort potentiel.
Et j’ai vu la grâce qui laisse sa trace.
*
Sur mes pages, où l’art s’entasse,
Comme la grâce laisse sa trace.
Magie d’un ciel au loin des génocides,
L’échos des armes des esprits liquides.
Bijou nu dans l’éclair en veine.
Mille éclats brûlent mes chaînes,
Et j’ai vu la grâce qui laisse sa trace.
*
Chemin tordu, avec une perle qui éclot,
Sur le pavé des perles dans le chaos.
D’un charme si doux, sur ma vie elles règnent.
Elle sont mon feu de vérité en velours
Où tout a été obscur cinq longs étés
Avec un maximum de macchabées
Jusqu’à l’aube qui s’éveille,
Sous l’étoile au fort potentiel.
Et j’ai vu la grâce qui laisse sa trace.
*
Et il me reste les bras de Morphée
Je ne brouillerai pas sa trace bien-fondé
Et on est à la dystopie futuriste de Orwell,
1984, de sa fougue, y a des frissons cruels
Sur mes pages, où l’art s’entasse,
J’ai vu la grâce qui laisse sa trace.
Merci pour ces traces indélébiles de l’incontournable divine grâce !
Merci pour ce partage d’un art devenu rare !