Quelle belle nature,si fragile
Qui ne demande,qu’a s’épanouir
Dans ce triste monde,bien trop hostile
Qui semblerait tout faire,pour te nuire
L’homme,oublie souvent,qu’il ne peut vivre
Si de toi,il omet de prendre soin
Et que seul,il ne pourra pas poursuivre
Tu es essentiel,à ses besoins
Tu es nécessaire,à notre présence
Et sur toi,repose notre équilibre
Jusqu’à la racine,de notre essence
Où s’écoule en chacun de nous,ta fibre
Il n’y a donc,aucune ambiguïté
Le fait,que la femme comme la terre
Sont primordiaux,à l’humanité
Et nul besoin,plus longtemps,de le taire!
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