J'ai commencé à écrire des poèmes à l'âge de 60 ans. Ce n'est pas moi qui les ai cherchés, ils se sont imposés à moi comme une bouffée d'air pur au moment de la retraite. Enfin laisser parler les mots qui dorment en moi !
J'ai lu Victor Hugo et Lamartine à l'adolescence, puis Aragon et Baudelaire un peu plus tard. Brassens a bercé mon enfance. Ils m'ont appris à rimer en alexandrins.
Le virus était en moi. Il y a sommeillé le temps de travailler, d'élever mes enfants, de taire mes maux pour mieux m'occuper de ceux des autres.
Et voilà le flot de mes rimes sur lesquels je navigue aujourd'hui, au gré des jours bons ou moins bons. Ils me bercent, ils m'apaisent... je vous en offre l'écume du jour.
Très joli texte, bravo!, mais mélancolique, c’est un peu comme la vie. Le bonheur ne dure pas toujours moins longtemps que ce qui fait nos désillusions, mais comme tout ce qui plaît, on trouve ça naturel et on ne s’aperçoit pas du bonheur qu’il donne et le temps semble passer plus vite et semble plus éphémère. C’est pourquoi, il faut le prendre en vol et prendre son temps pour le regarder.
L’espoir reste permis, chère amie,les beaux jours reviendront, les rêves se réaliseront et nul n’est condamné à pousser éternellement le rocher de Sisyphe !
Très joli texte, bravo!, mais mélancolique, c’est un peu comme la vie. Le bonheur ne dure pas toujours moins longtemps que ce qui fait nos désillusions, mais comme tout ce qui plaît, on trouve ça naturel et on ne s’aperçoit pas du bonheur qu’il donne et le temps semble passer plus vite et semble plus éphémère. C’est pourquoi, il faut le prendre en vol et prendre son temps pour le regarder.
L’espoir reste permis, chère amie,les beaux jours reviendront, les rêves se réaliseront et nul n’est condamné à pousser éternellement le rocher de Sisyphe !