Il me plaît de penser
Que tous ces signes proviennent de cet autre côté.
Il me plaît de penser
Qu’ils sont tous de ces êtres aimés et décédés.
Il me plaît de penser
Qu’ils ne sont pas venus par le fruit du hasard.
Il me plaît de penser
Qu’ils ne sont pas un mauvais tour de ma mémoire.
Il me plaît de penser
Que c’était bien Topaze aperçue un matin.
Il me plaît de penser
Même si cette autre chatte appartient aux voisins.
Il me plaît de penser
Que d’autres signes, j’en aurai oui, peut-être encore.
Il me plaît de penser
Que ces êtres ne sont pas loin, qu’ils ne sont pas morts.
Il me plaît de penser
Que plus tard, un beau jour, je les retrouverai.
Il me plaît de penser
Qu’en attendant, ils sont dans mon coeur. A jamais.
Il me plaît de penser…
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Le début est le même que la statue d’ivoire d’Yves Duteil et j’ai adoré.
“Il me plaît de penser
Qu’en attendant, ils sont dans mon cœur à jamais”.: C’est l’essentiel et c’est ça qui compte, Odile ! Merci pour ce partage venant du cœur !