Alors que le soleil est couché et qu’arrive le soir,
Une évidence arrive dans ma tête et elle me fait mal.
Elle et moi n’aurons jamais l’occasion de nous revoir.
C’est une certitude et l’accepter me fait trop de mal.
Alors que le soleil est parti et que vient le soir,
Je pense à toutes ces personnes connues, aimées, ici-bas.
Elles sont toujours là, présentes en moi, dans ma mémoire.
Mais c’est de ne plus les voir que je ne supporte pas.
Ne reste que leurs photos ainsi que leurs bons souvenirs
De toutes celles et de tous ceux qui ont partagé ma vie.
Grâce à elles et grâce à eux, ils ne vont pas partir.
Ils seront toujours dans mon coeur. Je vous le garantis.
Depuis peu, toi mon amie d’enfance, tu les a rejoint.
Bien que, désormais, une incroyable distance nous sépare,
Comme toutes les personnes aimées, tu ne seras pas bien loin.
Tu auras aussi ta place dans mon coeur. Tu auras ta part.
Texte écrit par Odile Stonham @ Tous droits réservés.
Merci, Odile, pour ce partage auquel on ne peut rester insensible. Une séparation est toujours pénible ; mais qui te dit que la personne aimée n’est pas heureuse là où celui qui est au ciel l’a accueillie ? Es-tu sûre que ta tristesse ne va pas l’attrister ? Courage, chère Amie !
Gardons nous des douloureuses évidences !
Leur préférer la certitude des retrouvailles éternelles !