Appelez le maïs, s’élevant comme un épi.
En l’élevant comme une maman, enceinte de lui
En éléphant pendant deux ans, sans un répit
Le vent le siffle, soulève sa coupe
Souvent le gifle, le vent le souffle
Avant la foudre, se fait petit.
Une fois passée, veut faire le grand.
A hauteur d’homme, pour le cueillir
Autant vous dire, plus dure qu’une fleur
En douceur, pour la cueillir en se baissant
Ou debout en forçant pour l’accueillir, dans son foyer
Fouad Gojif ( Épi de maïs )