Entre frissons et émerveillement
Le corps bascule, entre froid et chaud
Le temps fait subir ses émotions,
Aux corps du temps la température joue.
La silhouette a froid, elle cherche
Le soleil, qui se fait rare,
La lumière se filtre rare sur le tapis de l’espace,
Les tripes du corps vibrent aux caprices.
La chair frissonne,
Le gel décrète neige,
Les pauvres crient
Aux sortilèges de la nourriture.
Ils veulent se nourrir les oiseaux du ventre.
Les tourtereaux arrêtent,
De chanter, leurs voix veulent
Se ressourcer, la famine les esquinte.
Entre frissons et émerveillement
L’humain cherche son bien-être,
L’hiver est rude,
Le soleil est exquis, il vient égayer l’âme vibrante.
© Fattoum Abidi – 13/01/2018.
Je pense alors à ces migrants… ça jette aussi un froid. Mais nul n’est trop pauvre pour n’avoir rien à partager. Merci
Très bel écrit Fattoum.
Amicalement
Aldrick
Très joli poème Fattoum
Douceur et espoir…
Merci pour ce partage
Amitiés
Chantal