Où va donc l’astre d’or pour être ainsi paré ?
Sur sa joue est posée une petite mouche,
Tout comme une élégante à coté de sa bouche.
Avec ce bel atour que veut-il célébrer ?
Peut-être le retour des étoiles filantes
Et leur crinière blonde au cœur des nuits d’été ;
Ou le bal éternel des astres agités
Par le vent galactique et les ondes chantantes.
Mais bientôt le pois noir nous fera ses adieux,
Aussi, le monde entier observe son visage,
Avant que pour cent ans il ne tourne la page,
Ayant bien honoré le berger du ciel bleu.
Lorsque déshabillé des brumes matinales,
Le soleil a souri à ce jour de juin,
Vénus s’est alignée dans le calme matin,
Entre la Terre et lui dans les nuées spatiales.
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© Hélène Rollat – 28/07/2018
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Merci Hélène de ce poème qui nous décrit la magie d’un ciel qui ne cesse de nous inspirer, j’ai aimé ma lecture
Agréable nuit
Mes amitiés
Fattoum.
Merci beaucoup.
Je vous en prie.
Si on veut voir des mots qui font rêver, et bien c’est ici qu’il faut venir. Rien n’est plus magique que de contempler le ciel quand il daigne nous laisser voir ce qu’il y laisse héberger. Cette magie tu la rends d’une façon époustouflante. Bravo!