Ma Tunisie on est par ton mal paralysé
Mais ces brutes on doit les briser
Ma Tunisie on est par la peine figé
Mes ces terroristes on doit les dégager
Ma Tunisie on est tellement pétrifié
Mes ces tueurs on doit les radier sans pitié
On pleure les tunisiens morts aujourd’hui
Pour sauver plusieurs vies
Tous les touristes venus dans ma Tunisie
Pour voir la beauté de ma patrie
Mais on sèche larmes car jamais soumis
A la loi de ces petits leur barbarie
Vous ne passerez pas espèce de minables
Assez de vos actes épouvantables
Assez espèce de meurtriers fort pitoyables
Assez d’orphelins et actes effroyables
Assez espèce de malades névrosés abominables
Assez de vous espèce d’assassins de diables
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Tunisienne,sœur dans le cœur de la sultane.
L’histoire s’accomplit dans les millions de fleurs qui fanent.
Le sable est l’or des corps brûlants de liberté.
Aucune autre fraternité ne t’a autant fait rêver.
Tunisienne,ma demie sœur m’accompagne.
Guéri-moi de songes de délices.
Fait voiler les âpres humeurs venus des lointaines montagnes.
Fait leurs coulée ce miel si lisse.
Toutes tes saveurs,ainsi que tes odeurs de ton rivage.
Des collines de Byrsa d’où je contemple Carthage .
Les marchands du monde sont venus jusque ici.
De Chine,d’Arabie et les marins de Phénicie.
La tunisienne,ta terre qui porte cet amour des hommes.
Les vaillants princes des rues sont identiques à Homs.
Fière et rebelle,les empires déchus ont su refroidir.
Ni le thé ni les cœurs,les mains chaudes continuent d’applaudir.
Ma belle,mon regard n’est pas détourné de tes palmier de Djerba.
Tes cheveux volent aux quatre vents.
Les dromadaires ne comprennent pas toujours nos pas.
Je sais à présent sur ton drapeau pourquoi tant de blanc.
Une lune pour un Ay
Une vie qui vaille.
Ta chaîne est notre peine.
Ma sœur jusque dans les veines…