Déjà, un mois que tu nous a quittés.
Déjà un mois, s’en sont allées,
Ta joie de vivre et ta gaité,
Ta gentillesse et ta bonté.
Tu savais réconforter les âmes apeurées.
Tu savais trouver les mots qui plaisaient.
Tu savais donner sans calculer.
Tu savais gérer l’Autre , en toute équité.
Ne pense pas tomber dans l’oubli.
Tu es gravée dans nos esprits.
La sœur, la mère, l’épouse, l’amie,
C’était toi, et toujours grandie.
En évoquant les souvenirs partagés,
Quel que soit leur intensité,
Une rivière de larmes vient couler,
Marquant, à jamais, la perte de l’être aimé.
Repose en paix, mon amie.
Sache que le cours de la vie
Doit reprendre ,c’est ainsi.
Mais tu es en nous, Saleha ,
Tous, on se souviendra.
Et comme disait Aznavour
Y a tant d’amour, de souvenirs
Autour de toi, oh Saleha
Y a tant de larmes et de sourires
A travers toi, oh Saleha
Que jamais, jamais, jamais
Tu nous quitteras…
je suis heureuse que ce poème vous ait plu .Je pense que ,au moins une fois dans sa vie , on s’est retrouvé confronté à ces durs moments ..Dans mon cas c’est une amitié de 40 ans que je voulais honorer .merci à tous
“Un seul être vous manque et tout est dépeuplé” disait l’immense Alphonse ! C’est un peu vrai, c’est dur de perdre un être cher, mais je partage ta lucidité et ton réalisme, lorsque tu dis : “le cours de la vie doit reprendre”.
Merci, chère amie, pour ce partage émouvant et pathétique, intéressant et utile !
Avec toute ma sympathie.
Merci pour ce beau partage poétique émouvant chère Rabia.
Nous avons hâte de découvrir vos autres textes.
Bien à vous,
Alain