Essayez-vous en vain, vous, les coupeurs insensibles d’arbres,
mes arbres dans la cour sont défendus par les dieux
n`ont pas disparu sous sous les tordus cornes de taureaux,
comme quelques-uns pensaient
ni entre les roues tueurs du temps,
comme d’autres pensaient
Vous regardez où ces énormes crânes de dinosaures,
qui ont traversé miraculeusement des millions et millions d’années
comme meme mes arbres qui éternisent le temps
défiant même la mort -c’est pareil –
et vous ne comprenez pas pourquoi!
En vain essayez , vous, coupeurs insensibles d’arbres,
mes arbres de la cour de maison, droits si vous voulez, ne meurent pas …
Au-dessus d’eux est entendu chansons de volaille
les abeilles rassemblentla nectar des fleurs dans les nids d’abeilles
et dans leur branches, l’essence de vie monte en haut au ciel.
Tu as recueilli ma vie, Seigneur, entre ces collines
et tu mets entre moi et toi trop de seuils ..
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©Contu Aurel