Consoler une blessure – Anemone61

Enfant, garçon 👦 manqué, fille réussie, et toujours après six décennies de vie… toujours en mouvement avec ses copains entre six et douze ans et neuf mois… trio de cicatrices imprimées dans son corps, symptômes de multiples blessures et pas seulement physiques… Trois accidents de jeux d’enfants… fils barbelés frontière du jardin des parents en 1964, quartier de la Faculté de Caen Basse-Normandie, cité natale, quartier du Calvaire-St-Pierre ; arcade sourcilière éclatée : points de suture : ouille, ouille, ouille ; poignet droit cassé 😡 à cinq ans et demi d’avoir regardé l’avion voler comme m’y invitait mon grand-père 👴 maternel et de ne pas avoir vu les marches du perron… pelle en fer fendant le cuir chevelu générant une blessure jamais cicatrisée après près de cinquante-quatre de vie… c’est Hervé voisin de mon âge souffrant d’un retard mental…

Cicatrices d’une vie de blessures physiques ou morales comme pour tout un chacun plus ou moins, de blessures en blessures, de cicatrices en cicatrices, guérisons successives… victoires sur le mal, le “mal à dire”, les “maladies”…

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Marilyn Aubert-Chevallier

Anemone61 (2)

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Jean-Marie Audrain
Modérateur
6 mars 2025 8 h 48 min

L’encre a coulé sur les traces du sang. Heureux de te mieux connaître par tes blessures d’enfance que seul le temps guérit, d’après la chanson d’Yves Duteil.