S’ il eut su qu’ il n’a jamais su
Vivre sa vie dans celle des autres.
Quand dénigrant ce qui lui apparut
Il en devint pour toujours l’ apôtre.
Tout ce méli-mélo d’ idées apostrophées
Prouve bien qu’ en ne tenant qu’ à un fil
Elles s’ envolent fidèles au vent dépolarisé
Et à qui les bourrasques donneront asile.
Imaginez les songes naissant de ces idées,
Verrouillés dans votre subconscient rébarbatif
À la conscience émergeant de votre corps natif
De toutes ces langoureuses conneries abusées.
J'habite au Québec, à Montréal plus précisément.J'ai découvert à l'âge de 15 ans mon amour des lettres. À la bibliothèque du lycée, j'ai d'abord dévorer les bouquins avant de fignoler ma plume. J'ai aussi depuis comme vous le constaterez fait mon chemin dans cette vie empruntée aux aléas des caprices qui en contrôlent l'existence. Certes j'épluche les lettres tant bien que mal et tant pis, cela me convient parfaitement. Alors me voici sans fioritures et dans mes expressions les plus simples. Voilà donc ma description du fouillis par lequel chacun d'entre nous s'abandonne inéluctablement.
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Bravo Marcel superbe partage
Mes amitiés
Fattoum.