Comme s’ils n’étaient rien… – Lucienne Maville-Anku

Meurent tant d’êtres humains
D’absence d’amour
Comme s’ils n’étaient rien
©️Lucienne Maville-Anku, 13/01/22, 04 :20
Extrait –

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Lucienne Maville-Anku

Lucienne Maville-Anku (739)

"C'est en écrivant que j'apprends à écrire."
Je suis originaire de la Martinique, une des charmantes petites iles de la Caraïbe, et vis au Royaume-Uni.
J'écris depuis de nombreuses années, et ce sont les autres, dans un premier temps, qui par leurs nombreux encouragements et appréciations a la lecture de mes textes m'ont aidée à prendre conscience que j'avais des talents à valoriser.
Ce désir d'écrire et de mieux écrire qui niche en moi depuis l'âge de 15 ans n'a jamais cessé d'aller croissant. Aussi, j’expérimente que c'est le fer qui aiguise le fer, et que plus j'écris, plus je désire écrire, et apprends de la sorte à écrire en autodidacte, par le soupir, par le désir, comme un feu qui s'attise.
La Poésie elle-même m'enseigne, j'apprends d'elle et découvre plus de sa beauté et sa diversité en lisant et en appréciant ce que d'autres écrivent et expriment, notamment sur cette plateforme, terrain de partage et d'expérimentations où foisonnent tant de talents qui m'émerveillent. C'est une vraie galerie d'arts uniques.
J'écris et développe cet art d'écrire en cultivant ma relation avec la Poésie, 'bon pédagogue’ qui m'instruit et m'éduque, et l'écriture elle-même qui comporte aussi des vertus thérapeutiques contribue à mon développement personnel. Cependant, j'ai souvent désiré participer à des programmes de formation pour parfaire mes talents et la stylistique.
J'ai compilé déjà plusieurs recueils de textes poétiques que je souhaite "dé-confiner" pour les mettre à profit, partant du principe que ce que l'on partage, on le gagne, et ce que l'on garde, l'épargnant à l'excès, on le perd.

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9 Commentaires
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Martyne Dubau
Membre
15 janvier 2022 21 h 20 min

on peut mourir de n’être pas aimé;
comme de trop aimer
la vie est mal faite parfois

Philippe DUTAILLY
Membre
15 janvier 2022 12 h 23 min

L’amour est le sel de la vie. Sans ce sel, la vie serait fade.

Colette Guinard
Membre
15 janvier 2022 11 h 35 min

Absence d’amour pour l’humain, est trop de souffrance, mourir d’aimer est sa seule délivrance! bonne journée Lucienne dans l’amour en partage Bises Colette

Alain Salvador
Membre
14 janvier 2022 20 h 07 min

Mourir d’aimer , tel que le chantait le grand Charles Aznavour
Mourir de solitude étant seul à aimer, l’autre pas
Mourir d’aimer un amour rendu impossible par tant de barrières posées par les hommes
Mourir d’attendre tant de temps que cet amour arrive…
Au fond, sans l’autre nous ne sommes rien