Né en janvier 1943 dans l’île de Noirmoutier*
Suffisamment au-dessus de la moyenne pour être repéré par le curé et l’instit de son village, il fait des études secondaires puis supérieures malgré son peu d’attirance pour l’école et le savoir, trop enclin à se satisfaire de contempler la proposition offerte par la « nature » environnante…
Ayant eu à plusieurs reprises des soucis de santé (10 et 30 ans, il est très conscient de la fragilité de la vie. Alors, chaque jour, il quittera son "bureau" comme s’ il n’y reviendrait le lendemain, un autre devant pouvoir poursuivre sans trop de difficultés ses réflexions, entreprises sur différents sujets, et jamais que, lui, n’a jamais vraiment abandonnés.
Ce souci s’est aussi traduit par celui de souvent communiquer, écrire des articles, et plus tard le moment venu de publier des ouvrages en français et même quelquefois en anglais…
Si sa page auteur (chez l’Harmattan éditions) présente l’ensemble de ses travaux cela est fait en vrac, de façon confuse !
Aussi pour ses proches, parents et amis et ceux qui peut être trouveront un quelconque intérêt à « poursuivre », ses "réflexions", il s’est livré en cette fin d’année 2024 à une brève synthèse mieux ordonnée et il l’espère plus « pertinente. La voici, présentée selon 3 domaines :
I-Rémi G, Dr Ing Chercheur (dans le domaine de l’ énergie ; à partir de 1968)
(Voir détail de ses travaux par exemple sur sa page auteur chez l'Harmattan éd.)
-2 livres chez Elsevier éditions en vf et va en 1998 "Du diagramme hygrométrique de combustion aux pompes à vapeur d’eau " ISBN 2-84299-073-0 et en 2000 "Wet Way Combustion " ISBN 2-84299-180-X
-Thèse en 2002 sur la combustion par voie humide (Univ Henri Poincaré Nancy1)
-Très nombreuses articles notamment sur la combustion humide dont il est l'inventeur et créateur de l'aphorisme (Cf article paru dans les techniques de l'ingénieur en octobre 2018)
-Dernier livre "Wet Combustion and Water Vapor Pump-Cycle Efficiency (éd "Cambridge Scholars Publishing 2019, 978-1-5275-3902-0)
-Dernière publication sur la "Combustion humide de l'hydrogène et cycle de la pompe à vapeur d’eau" en mars/avril 2024 (Cf. OpenScience-ISTE London, disponible en vf et va)
II-Rémi G, économiste (à partir de 2000)
-Voir notamment les livres "Pour plus de solidarité entre le capital et le travail" (éd. L'harmattan 2004, ISBN 26-7475-6398-7) et "Propositions pour une économie équitable"* (éd. L'Harmattan 2012, ISBN 978-2-296-96282-8)
-Articles sur "CFO-news et Finyear" entre 2006 et 2012 et 1 e-book en coopération avec L. Leloup " Incantations pour un futur durable" (2012)
Dernières publications concernant son modèle fondé sur l'hybridation des rémunérations des partenaires et son élargisssement :
-"To reinforce solidarity in and with enterprise" (in Guangzhou, May 9-10, 2015
-"Towards a greater consideration of the human life and planet redevance in (micro) economics" paru dans le "SCIREA journal of economics" november 2019
III-Rémi G, écrivain (poète, philosophe, essayiste (à partir de 2015)
-2 ouvrages chez "Mers du Sud": "Noirmoutier, une île qui séduit"* et "Une vie pour changer d'ère"(en 2015 et 2016)
-3 recueils de poèmes (éponymes) chez "Mers du Sud" ou accessibles gratuitement en ve via "Plume de poète" et "De plume en plume"(de 2020 à 2024)
-2 albums associant photos et textes poétiques en coopération avec Henri Bonin pour l'un (ISBN 978-2-491379-64-3) et Bruno Ignace Barbé pour l'autre (ISBN 978-2-491379-67-4) les deux en 2024
-Dernier ouvrage (juillet 2024) : "Mon chemin vers l'agnosticisme" (éd. L'Harmattan/Les Impliqués, livre qui reçoit un très bon accueil d’un large public).
+Quelques activités bénévoles de Rémi G (entre 2003 à 2020)
Notamment en aide à l'apprentissage de la lecture du français (voir la méthode développée en cette occasion sur internet en tapant "J'apprends à lire le Français par Rémi Guillet", méthode téléchargeable gratuitement) et interventions en EHPAD.
*NB : Quelques présentations vidéos concernant Rémi G existent sur Youtube ; pour ceux qui se souviennent de l’ANVAR, il y a passé quelques années et il a reçu le prix Montgolfier des arts chimiques pour ses travaux sur la combustion, en 2002.
Depuis tant d’années nous pourrions tous rouler pour pratiquement rien avec nos voitures ainsi que pour l’industrie et tellement d’autres choses… Plus de pollution, plus d’essence… Malheureusement celui qui ose proposer ce genre de projet ou de solution ne sera pas reconnu car il y a bien trop d’enjeux financier dans le monde.
Et après ça on nous demande de moins poluer, bientôt on prendra un pv si on pète dans la rue… De qui se moque t’on ?
Ce n’est que très récemment qu’on a découvert qu’il y avait de l’hydrogène naturel, ou blanc dit-on, dans le sous-sol (environ 5 à 6 ans, ce qui a valu la vie à des puisatiers africains qui ne se méfiaient pas. Maintenant on en cherche partout avec un certain succès, souvent piégé dans l’eau !).
Beaucoup plus coûteux est l’hydrogène manufacturé quel qu’en soit l’origine et selon cas on le dit vert, rose, gris….).
Dans tous les cas c’est un vrai combustible, sans carbone, et qui forme de l’eau en brûlant produisant beaucoup plus d’énergie par kg brûlé que les hydrocarbures traditionnels.
Pour autant, il ne faut pas ici parler de moteur à eau, ce vieux rêve encore repris dans les années 60 qui tentait de faire croire que l’eau, par magie, pouvait se transformer en carburant !
Quant à moi, je ne fais que préconiser ici le recyclage de l’eau issue de la combustion pour décrire un nouveau cycle très performant au plan énergétique et écologique que j’ai d’ailleurs inventé en travaillant sur la combustion des méthane et autres gaz naturels dans les années 70.
En effet, ce cycle avec recyclage de l’eau est particulièrement pertinent quand le combustible ou carburant est l’hydrogène (ce qui a été bien compris par certains motoristes comme Toyota qui va jusqu’à la suppression du chemisage en charge de refroidir le bloc moteur via le circuit externe bien connu de la plupart des motoristes – sauf feu Panhard, Citroën avec mes bien aimées 2CV, GS qui pratiquaient avec bonheur la motorisation thermique refroidie par air … – et bien d’autres, désormais nombreux à repenser les moteurs thermiques avec l’arrivée de l’hydrogène carburant !).
Dans l’invention que je revendique, à souligner aussi que pas besoin d’eau neuve ni besoin de moyen stockage d’eau nécessaire ! (ce qui est très important en cas de véhicules légers, d’aéronefs etc.)
Pour plus d’infos, ouvrir le lien qui mène au texte complet !
Pardon d’avoir proposé ce texte sur un site plutôt littéraire, mais écrire n’interdit pas de conduire et même de posséder une voiture ! (Ce qui est mon cas…)
Rémi Guillet
Ce n’est que très récemment qu’on a découvert qu’il y avait de l’hydrogène naturel, ou blanc dit-on, dans le sous-sol (environ 5 à 6 ans, ce qui a valu la vie à des puisatiers africains qui ne se méfiaient pas. Maintenant on en cherche partout avec un certain succès, souvent piégé dans l’eau !).
Beaucoup plus coûteux est l’hydrogène manufacturé quelle qu’en soit l’origine et selon cas on le dit vert, rose, gris….).
Dans tous les cas c’est un vrai combustible, sans carbone, et qui forme de l’eau en brûlant produisant beaucoup plus d’énergie par kg brûlé que les hydrocarbures traditionnels.
Pour autant, il ne faut pas ici parler de moteur à eau, ce vieux rêve encore repris dans les années 60 qui tentait de faire croire que l’eau, par magie, pouvait se transformer en carburant !
Quant à moi, je ne fais que préconiser ici le recyclage de l’eau issue de la combustion pour décrire un nouveau cycle très performant au plan énergétique et écologique que j’ai d’ailleurs inventé en travaillant sur la combustion des méthane et autres gaz naturels dans les années 70.
En effet, ce cycle avec recyclage de l’eau est particulièrement pertinent quand le combustible ou carburant est l’hydrogène (ce qui a été bien compris par certains motoristes comme Toyota qui va jusqu’à la suppression du chemisage en charge de refroidir le bloc moteur via le circuit externe bien connu de la plupart des motoristes – sauf feu Panhard, Citroën avec mes bien aimées 2CV, GS qui pratiquaient avec bonheur la motorisation thermique refroidie par air … – et bien d’autres, désormais nombreux à repenser les moteurs thermiques avec l’arrivée de l’hydrogène carburant !).
Dans l’invention que je revendique, à souligner aussi que pas besoin d’eau neuve ni besoin de moyen stockage d’eau nécessaire ! (ce qui est très important en cas de véhicules légers, d’aéronefs etc.)
Pour plus d’infos, ouvrir le lien qui mène au texte complet !
Pardon d’avoir proposé ce texte sur un site plutôt littéraire, mais écrire n’interdit pas de conduire et même de posséder une voiture ! (Ce qui est mon cas…)
Merci Rémi pour toutes ces précisions très intéressantes des mains du maître…