Cœurs légers
J’ai voulu, dans une quête enflammée,
Plonger dans ton âme, douceur goûtée,
Sonder les abîmes de ton cœur profond,
Là où naissent les éclats et les frissons.
Ô muse vagabonde, flâne sans peur,
Déploie tes ailes dans un souffle vainqueur,
Et si, dans ce voyage empreint de légèreté,
Une larme ou un grand sourire vient s’inviter,
C’est pour bercer la lyre musicale qui gémit,
Et dans l’or de tes cieux, de tes yeux y a l’envie.
Cœurs légers, porteurs d’amour
Cœurs légers, paradis des mots
Un feeling pur dont tu ne fais pas l’tour
Cœurs légers doux partisans réglos
Et toi, ma muse, étoile éthérée,
Dévoile ton éclat, ta beauté sacrée.
Ne crains pas si, d’un songe un peu fou,
J’extrais l’harmonie des ondes casse cou.
Ces vers, gravés dans la toile du soir,
Sont de vraies rumeurs, où y a pas de hasard.
Regarde les oiseaux dans leur envol,
Leur chant aérien caresse nos farandoles.
Les villes s’habillent au p’tit matin,
Ça se grouille, pour choper leur chemin
Avec toute la condition humaine et la vie
Et j’te parle même pas du langage d’la poésie
Un braquage d’éclair ensoleillé en ami.
Cœurs légers, porteurs d’amour
Cœurs légers, paradis des mots
Un feeling dont tu ne fais pas l’tour
Cœurs légers doux partisans réglos
Poème pas si léger au final ! Inspirant en tout cas…