Chemin en synapses
Un radeau au désespoir les rondins en mots
Sur les flots d’un illusoire pour un destin plus beau.
Dérive sur le réseau de social que le logo.
Apponter la rive du sceau de l’idéal des idéaux.
Le chemin maintenant à pied arpenté
Pour heurter les destins cheminant la portée de l’entrée.
Du dédale cérébral d’un reflet magnifié
Qui pense animal quand l’âme ne joue d’effets maquillés.
Alors toujours avancer en borderline sur les sables émouvant
De l’Amour contrarié en une dune instable, troublante.
Sous le pied lourd de sentiments ne pas céder aux éphémères ardents
Crapahuter sans faire le sourd des élans enflammés, fiers, pesants.
Avec un sac sur les épaules déchirées du poids qui les ronges
L’homme traque la folle pensée au-delà des lois du cœur sans le mensonge.
Et au loin la lueur d’une lanterne de compassion
Crée un point de chaleur maternelle en profusion.
Mais reste le dernier pas des plus durs il croit
En détresse, dénie, est à l’affût du soi.
Les chaussures usées, la main fébrile entrouvre la porte,
Des augures blessés dans les destins les idylles déchantent les amitiés fortes.
Enfin se poser pour contempler la résultante des errances
Du défunt passé en rage transformé pour l’éclatante confiance.
14/08/17