Soudaine lumière après des vives douleurs
Joie mitigée de baraka sont répandues.
Un nouveau-né, un nourrisson trébuche et pleure
Cherchant son jouet qu’il croyait avoir perdu.
Un jeune rêveur sur le chemin de l’école
Ses compétences ne sont pas encore acquises.
Des souvenirs fabuleux et d’autres qui volent
Chansons et leçons que la vie lui a apprises.
Un homme auréolé de gloire et de glamour
D’un métier à l’autre, une vie pleine d’épreuves.
D’une fleur à l’autre oubliant son premier amour
Pas de place pour les trêves ou pour les rêves.
Une femme entre les bons jours et les perdus
Un lendemain qu’elle espère être beau en vue
Entre moments paisibles et tâches ardues.
La vie n’est pas aussi facile que prévu.
Un vieillard dans un état qu’il n’a pas choisi
Cherchait en automne la poupée du printemps
Qu’il croyait perdue, mais fondue dans l’amnésie,
Une aiguille perdue dans la paille du temps.
Il ne se souvient pas de sa petite-fille
Ni de sa poupée, soudain il fait noir derrière
Une étoile qui repose en paix et y brille.
À l’horizon, y a-t-il une autre lumière ?
C’est la vie, cette époque avec son aigre-doux,
C’est la vie, c’est la mort, un corps pâle et flétri,
C’est la mort, c’est le sort qui rôde autour de nous,
C’est la mort, le grand jeu de la vie est fini.
Chemin de vie, bien écrit, la vie, la mort.
Très émouvant et très bien formulé
Vos mots sont toujours aussi beaux
Bonjour Saber contente de vous retrouver toujours performant dans vos écrits qui relatent ici toutes les périodes d’une vie jusqu’à la mort! Merci du partage! Colette
Beau et triste poème cher ami Saber, merci pour ce partage, d’autant plus qu’effectivement nous sommes ravis de vous retrouver parmi nos lectures que nous apprécions beaucoup…
Au plaisir donc de vous lire à nouveau.
Bien à vous,
Alain
oui c’est le cercle éternel de la vie
on nous la donne et le temps nous la reprend
un jour ou l’autre
je vous croyais nouveau mais c’est plutôt un retour je vois ,
alors bon retour à vous