C’est d’un rêve qu’elle enfanta
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Elle danse sur les vagues, reine des désirs,
Son cœur s’enivre d’amour, sans fin, avec loisir.
Audacieuse, elle vogue sur des mers souveraines,
Son charme câlin est grand ; ma vie ; ère olympienne.
Son inspiration est la brise d’un paradis trouvé,
Elle allume mes nuits avec ses songes éveillés.
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Ô poème, c’est d’un rêve qu’elle enfanta
À la dérive des étoiles, avec l’air fleurant l’éden,
Créature céleste, elle n’a besoin d’arène.
Princesse d’un amour azur,
Déesse des lumières si pures.
Un volume de luxe qui chante,
Ses poésies sont bien délirantes
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Ô poème, c’est d’un rêve qu’elle enfanta
C’est d’un rêve de feu qu’elle enfanta
Destin Dantesque, marqué d’un souffle sauvage,
Où rôdent les ombres, hyènes et vautours,
L’enfer de Dante déchaîne ses orages,
Mais l’art s’élève, fer et terre sont de retour.
Et elle, elle n’a pas peur, elle sait la protection
Et le tout avec trois points de suspension
C’est bien Héméra qu’a la lumière affable
Et la mort est d’une constance implacable
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Ô poème, c’est d’un rêve qu’elle enfanta
C’est d’un rêve de feu qu’elle enfanta
Poème, c’est d’un rêve qu’elle enfanta
C’est d’un rêve en feu qu’elle enfanta
Aussi grand que l’inconnu de l’au-delà