Lourdes, sinon rien – Jean-Marie Audrain
¤ Conseils étouffés Tous les psys diabolisés Reste le miracle.
Haïkus Espace Poésie
¤ Conseils étouffés Tous les psys diabolisés Reste le miracle.
Méditation pour un été sur une plage abandonnée (haïku) Sans plus de coquillages ni crustacés… Et si cette exo-énergie que nous consommons sans modération (jamais rassasiés !) Etait la source de tous nos maux Toutes nos dérives, écologiques, sociologiques et, bien sûr, économiques ! Qu’en penses-tu B.B. ? R.G.
Adieu aux nuages Barbe des anges bourbons Mains en éventail
Les haïkus (俳句) sont des poèmes d’origine japonaise, et remontent au XVIe siècle. Ils obéissent à quelques règles de composition, dont les deux principales sont : trois vers non rimés rythme syllabique 5/7/5 Si les haïkus traditionnels abordent des thèmes naturalistes et méditatifs, ils sont aujourd’hui ouverts à toute la palette des possibles. Les haïkus français … Lire plus
Pris en Possession Grâce à GEM mon Z’oreil L’asso d’Angélique
La vie à la Terre appartient La vie, d’un arbre provient Lui-même graine venue d’un Eden incertain Elle s’y accroche, s’y tient Par inadvertance ou manque de chance détachée, elle n’est plus elle ! Sans racines, sans ressources, coupée de sa source Elle s’étiole, pour bien vite disparaître dans la nuit Rejoignant ainsi … Lire plus
Ils sont UN ? Ils sont DEUX ? Peut-être Les DEUX ? AMI ! AMANT ! Ils sont AMOUR EUX ! Rémi Guillet
¤ Entre mal et sale Bipolarité du soit Au choix du client Ni fromage ni dessert Bulle bleu schizophrénie.
L’amer à boire Vient gâcher la vie c’est sûr L’océan indien
Océan indien Houle danse en furie Et valse l’écume
Poids de nos croyances L’once de désespérance Chavire la chance.
La guêpe Gigi Voulant jouer à l’accro feuilles Perdit la partie.
Elle fait du bien A elle via chapelet, Que du mal à l’autre.
Piscine d’enfer Le requin au fond de l’eau N’était qu’un dauphin
Dis-moi le bélier Pourquoi aimes-tu les grilles Oiseau libéré ?
Soit ce soir je pars Tropiques hospitalières Soit demain je meurs
* Dis, l’eusses-tu su Canicule, pont virgule Car, Luce, tu sues.
La nuit qu’il a plu L’eau tombée dans ses babouches Ne lui a pas plu.