Ça s’appelle le doute, ça me viens la nuit
entre deux rêves, entre deux vies,
quand il pleut sur ma mémoire,
je me raconte des histoires
Quand je ne peux plus dormir …
jusqu’au bout de la nuit,
toujours envie de vivre,
toujours envie d’avancer,
toujours envie de dire…
ce que je n’ai jamais osé
Dire à ma mère que je ne l’oublie pas,
dire à mon père…
qu’il est dans un coin de ma mémoire,
dire à mes enfants…
que je les aime toujours aussi fort,
dire à cette femme…
que je n’ai pas su garder,
lui dire que je ne l’ai jamais oublié
Ça s’appelle le doute, ça me viens la nuit,
entre deux rêves, entre deux vies,
je me raconte des histoires
quand je ne peux plus dormir…
jusqu’au bout de la nuit, au bout de l’enfer
Pendant que s’évaporent mes forces,
pendant que passent mes cauchemars,
pendant que se meurent mes rêves
Qu’ai je fait de ma vie…
bien sûr je me cache derrière le rire,
pour oublier mes peines,
mon anxiété,
ma vie ratée
Avec toujours cette envie de vivre,
toujours envie d’avancer,
toujours cette envie de dire…
ce que je n’ai jamais osé
poignant , tout ces mots que l’on a dans le tète mets aussi dans le cœur, c’est du fragile de cristal.
J’adore, Joli.
“Avec toujours cette envie de vivre,
toujours envie d’avancer,…”
Ne naît-on pas pour vivre ?
N’est-ce pas là de l’homme
La vraie destinée…
Merci, Gilles, pour ce beau texte.