Bavures des maux
Se ressourcent de la triste mémoire,
Des cicatrices suintent,
Des mots se manifestent remplissant des seaux
Les nécessiteux sont assis
Sur des maux, qui piquent
Fort, le corps est en manque
Des soldats défenseurs.
Bavures des maux
Se ressourcent de la nervosité,
Qui s’étouffe,
Qui s’indigne.
Les gilets jaunes se propagent
En Europe, ils cherchent
Des droits congelés
Sous les yeux de la raison irritée.
Le cœur crie fort :
Oyez, oyez les casseurs
Ne cassez pas un patrimoine culturel,
Ne rasez pas la vie des travailleurs.
Ne touchez pas à leurs biens,
Ils ont passé leur vie
A construire la belle mélodie,
Paris pleure les bavures inconscientes.
Ô ! Grands décideurs
Promulguez des lois
Au profit des malheureux
La terre se déséquilibre, les factures sont salées.
Ô ! Démunis de la planète
Travaillez, prenez de la peine,
C’est le fonds qui manque le monde
Comme disait La Fontaine.
© Fattoum Abidi 14.12.2018
Bravo magnifique mon ami Doux et bon weekend bisous Fattoum
Bonjour mon amie Béa très touchée, agréable journée bises
mes amitiés
Fattoum.