Sans toi, tout m’est insipide.
Je me sens égaré,
Sans amour ni affection me servant d’égide
Errant dans un monde aride.
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Ô mère! Toi qui m’as enfanté,
Qui m’as donné la vie,
Pour toi, j’ai fait ces mémorables vers
Que nulle plume, à travers tous les âges
N’a laissé dans son sillage.
Douce et tendre mère,
À toi j’offre ce bouquet de vers
Surpassant en splendeur
Les sublimes couchers de soleil
Aux mille couleurs,
La belle saison et ses fleurs
Et les immortelles ballades des grands « trouveurs ».
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Et sur les ailes d’une blanche colombe,
Ils feront le tour du monde
Embaumant de leurs effluves
Les cœurs des petits et des grands
Qui, la main dans la main, les dédieront
En chœur à toutes les mères :
Celles de demain, d’aujourd’hui et d’hier.
© Bouhadjar Abdelghani – 17/03/2018