Vermeire
Créature des douces mers
Je m’approche de vermeire
Je l’observe
Je sais que c’est une créature de réserve
Elle m’attire
Mais j’ai peur du pire
Perdant ma vue sur cette sirène
Et de sa carrure de reine
La joie anime mon cœur
Je sais que c’est mon âme sœur
Ainsi arrive l’heure
Où se dissipe ma douleur
Elle dégage de cet arôme
Qui mettra à ses genoux tout Rome
J’ai tant d’égard
A son regard
De ses yeux bleus comme le ciel
Nul doute qu’elle a les lèvres sucrées comme du miel
De son sourire éclatant
Elle fait perdre la notion du temps
Elle est la fraicheur
Et savamment la douceur.
@Aux vieux_amours_2004@
Belle poésie comme cette vermeire à l’allure légendaire d’une sirène.
”Elle dégage cet arôme
Qui mettrait à ses genoux tout Rome” ! C’est onctueusement poétique. Merci mon cher Bako.