Vermeire-Benjamin Edouard Bako

Vermeire

Créature des douces mers
Je m’approche de vermeire
Je l’observe
Je sais que c’est une créature de réserve

Elle m’attire
Mais j’ai peur du pire
Perdant ma vue sur cette sirène
Et de sa carrure de reine

La joie anime mon cœur
Je sais que c’est mon âme sœur
Ainsi arrive l’heure
Où se dissipe ma douleur

Elle dégage de cet arôme
Qui mettra à ses genoux tout Rome
J’ai tant d’égard
A son regard

De ses yeux bleus comme le ciel
Nul doute qu’elle a les lèvres sucrées comme du miel
De son sourire éclatant

Elle fait perdre la notion du temps
Elle est la fraicheur
Et savamment la douceur.

@Aux vieux_amours_2004@

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Invité
3 août 2020 16 h 14 min

Belle poésie comme cette vermeire à l’allure légendaire d’une sirène.

Michel Leutcha
Membre
3 août 2020 14 h 56 min

”Elle dégage cet arôme
Qui mettrait à ses genoux tout Rome” ! C’est onctueusement poétique. Merci mon cher Bako.