UXOR de Badar

Mes mains ont caressé et aussi consolé
La fessée des enfants pourtant bien éduqués.
Petits ! À vous maintenant de continuer
Le chemin de vie au parfum d’humilité.
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Ô ! Merci femme, toi aussi tu as oeuvré .
Dis moi ! Combien de chaussettes as tu reprisées ?
Nos petits tu les as aimés et adulés .
Avec eux le jardin tu l’as bien cultivé.
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J’aimais nos dimanches, tu les ensoleillais .
Retour de la messe, je buvais mon rosé.
Tendre souvenir qu’est cette odeur de bouillon,
Et ces effluves de tarte au potimarron.
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Chérie, je suis esquinté et exténué .
Si tu savais comme je t’ai toujours aimée .
Toi mon autre, tu me fais encore rêver.
Riche de toi, de tes valeurs, je l’ai été .
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Tous droits réservés © BADAR.11/2015.
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J’irai bientôt là-haut
Réserver notre nuage.
Tu verras comme tout y est beau.
Nous nous aimerons encore avec rage,
Nous danserons au clair de lune,
Nos deux âmes ne feront qu’une.
Femme chérie comme tu es belle !
Toute ma vie tu m’as donné des ailes.
Mon sang n’est que le tien.
Tout de moi t’appartient.
Merci Chérie pour cette vie magique;
Comme tu es magnifique .
Je t’aime toi ma femme