Tout Suffit juste
Un vent sortirait de mes poumons
Mes veines charrieraient des flots incendiaires
Et mon crâne couvrirait de sauvages furies
Que cela serait peu
Pour me montrer digne
Des vertigineuses hauteurs où m’élève mon amour.
Il manquerait encore
Les battements d’un millier de cœurs
Les transports d’innombrables étreintes
Et moi,
Je n’ai qu’une poitrine et que l’étendue de mes bras
Pour enserrer
L’envergure de tes soupirs.