Charme trop ordinaire – Raymond Delattre
Les grégaires pâquerettes colonisent trottoirs et pelouses bien vertes… O fleurettes vous qui n’êtes là que pour peu d’amour nulle haine ne vous gêne ni crachats ni vieux chats couchés sur vous ni les hommes qui vous piétinent ni les pommes qui vous tombent sur le crâne ni les ânes qui vous broutent … Lire plus