L’ivrogne. Kamel usbek

Ô! Ma chère fidèle campagne, C’est de tes lèvres, que j’engloutis mes chagrins, De ta vigueur m’abreuve, écourtant ma fin, Bienheureux d’être seul dans mon bagne, Avec toiseule pour campagne. Moi qui ayant quitté le monde des hommes, Je ne veux plus porter leurs charges en somme, Plus de clans, ni hordes, une vie d’hyènes. … Lire plus