Je ne sais parler qu’en manière de poème, Par temps qui donne à toute âme le soleil. Un enfant aux abords d’une ruelle se promène, Quelques papillons, une mouche l’émerveille. L’insecte pouvait être un ami de confiance Se dit : « De quelle taille faut-il que je les aime ? » Pensant aux échelles d’espèces … Lire plus
Comprenez-vous la vie dans son essence ? Je veux dire, l’événement qui descend. Moi, non ; je n’en saisis que le sens, Modeste ! Car savoir serait indécent. Tout ce qui est fait avec le cœur est beau. Rien ni personne ne peut le voir, Sauf le majestueux, qui est le Très-Haut, Qui pourvoit l’eau … Lire plus
Il y a des rêves qui se reproduisent, à mi-chemin entre les deux rives. La réalité par le temps se divise, indécis, la décision est à la dérive. ◇ Il entend d’abord l’écho de l’univers, puis sa curiosité du mystère l’attire. Le poète, découvre un vide à travers le verrou de la conscience qui le … Lire plus
Il y a des rêves qui se reproduisent, à mi-chemin entre les deux rives. La réalité par le temps se divise, indécis, la décision est à la dérive. Il entend d’abord l’écho de l’univers, puis sa curiosité du mystère l’attire. Le poète, découvre un vide à travers le verrou de la conscience qui … Lire plus
La révolution n’est plus industrielle et c’est le temps de la crise. Le destin leur a donné des ailes sur cette branche et le monde vraiment les méprise. Comme un rappel de lumière, les femmes aux tenues blanches, portent la douleur de l’infirme. Entre sœurs, elles font des prières. Hélas, des cœurs se débranchent, le … Lire plus
Le silence de la nuit recouvre l’horizon et les montagnes. Couronné d’une pluie battante qui arrose. Rentrons à la maison, voilà que la pénombre nous gagne. Les graines voyagent au vent avant que la fleur n’éclose. En regardant le ciel pour s’envoler avec les nuages, certaines attendent un règne au royaume des roses. L’imaginaire … Lire plus
Sur les quais de Seine, regardant plus haut, au loin, le poème du pont Mirabeau, le temps sans doute comme l’eau. Le vent l’emmène, le vent l’emmène, las le vent non et nous nous en allons. Sans que nos amours reviennent, tout coule, mais le monde s’y baigne. Sans aucun réveil … Lire plus
Si la foudre frappe les cœurs, Je serai à terre dans ce phénomène. Je m’envole pour quitter la douleur. C’est pourquoi je fais des phonèmes. L’herbe qu’on arrache avec les nerfs Ne marque qu’une césure. Alors qu’en écrivant des vers. Le poète rend hommage à la nature.
Comment faire pour se mouvoir ? Cette ligne où se confondent ciel et mer. N’est rien d’autre qu’un miroir Elle supporte les mots de notre imaginaire. Écrits à l’envers pour que les vers puisse se voir. 100 “ Au delà du mur de la raison. “ Poètefou. Gojif Fouad
Je suis venu dans son rêve, Pour lui montrer que rien ne nous sépare. D’un coup d’aile, je traverse le bleu ciel, Nos sourires scintillent En particule de lumières dans le noir. Et ses cils font des étincelles Particulière au rayonnant regard, Éclaireurs, nous sommes sentinelles. Nos âmes se veillent, sans se dire au … Lire plus