Aragon – Georges Cambon
ARAGON Les étoiles pâlissent plus vite que le songe Quand aucune musique s’échappe de l’oubli! Oh, prince quelle tour est à jamais abolie? Ce poème muet m’obsède puis me ronge! Pauvre Aragon! Entre le manteau et la faucille Moi, je préfère le marteau noir de l’illusion! Je te vois, vouté comme un pèlerin … Lire plus